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Litige avec les forces de l’ordre ou un organisme privé chargé de la sécurité
Vous avez un litige avec les forces de l’ordre ou un organisme privé chargé de la sécurité ? Vous pouvez saisir le Défenseur des droits. Vous pouvez aussi saisir l’organisme de contrôle responsable de la personne qui a commis le litige (selon le cas, l’Inspection générale de la police nationale, l’Inspection générale de la gendarmerie nationale ou le maire). Nous vous présentons les informations à connaître.
Litiges avec l’administration : recours administratif, défenseur des droits
Vous êtes victime ou témoin de faits qui vous paraissent contraires à la déontologie des policiers nationaux ? Vous pouvez alerter le Défenseur des droits. Vous pouvez aussi alerter l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). Dans tous les cas, vous pouvez choisir de saisir l’un ou l’autre, ou les deux de manière complémentaire. Nous vous guidons.
Le Défenseur des droits veille au respect de la déontologie par les personnes exerçant des activités de sécurité en France.
Il peut intervenir dans les activités de sécurité exercées par les personnes suivantes :
Agents publics de sécurité (policiers, gendarmes, douaniers, surveillants de prison, gardes champêtres ou forestiers,…)
Agents d’organismes chargés d’une mission de service public (par exemple, agents de surveillance des transports en commun)
Salariés d’entreprises privées de sécurité (services de gardiennage, de surveillance, de transports de fonds,…).
Les faits doivent se produire dans le cadre professionnel des agents, par exemple dans l’une des situations suivantes :
Interpellation ou garde à vue (violences, humiliations, privations,…)
Contrôle d’identité (abus de pouvoir, discriminations,…)
Dépôt de plainte (refus, mépris, jugement moral,…)
Détention (violences, humiliations, privations,…)
Fouille (fouille abusive,…)
Maintien de l’ordre lors d’une manifestation (usage abusif d’armes de force intermédiaire de type flash-ball ).
Ces comportements peuvent également être constatés dans un autre contexte, hors cadre judiciaire ou pénitentiaire : supermarchés, douanes, aéroports, etc.
Vous pouvez saisir le Défenseur des droits si vous êtes victime ou témoin de comportements des forces de l’ordre ou d’agents de sécurité qui vous paraissent illégaux.
Vous pouvez aussi le faire si vous êtes le représentant ou l’ayant droit d’une victime directe.
Vous pouvez faire la démarche en ligne, sur place ou par courrier.
Le fait de saisir le Défenseur des droits ne suspend pas les délais pour engager une action en justice.
Pouvoirs du Défenseur des droits
Le Défenseur des droits peut recueillir toutes informations utiles sur les faits de l’affaire.
Il peut demander des informations aux administrations, aux personnes privées, aux ministres compétents pour saisir les corps de contrôle (inspections générales).
Il peut faire des vérifications sur place dans les lieux publics et les locaux professionnels.
Un agent public, un dirigeant de société de sécurité privée et son personnel peuvent être convoqués et questionnés par le Défenseur des droits.
Traitement du dossier
Lorsque les faits de l’affaire laissent présumer l’existence d’une infraction pénale, le Défenseur des droits doit en informer le procureur de la République.
Lorsque les faits paraissent relever de manquements à la discipline, il peut en informer les autorités ou personnes investies du pouvoir disciplinaire.
Les détenteurs du pouvoir disciplinaire doivent informer le Défenseur des droits de la suite donnée au dossier.
Pour remédier aux manquements constatés ou prévenir leur récidive, le Défenseur des droits peut adresser un avis ou une recommandation aux autorités concernées. Elles doivent lui répondre dans le délai qu’il fixe.
En l’absence de réponse, ou si la recommandation n’a pas été suivie, le Défenseur des droits peut établir un rapport spécial et le rendre public. Il peut aussi, s’il l’estime nécessaire, publier la réponse de l’autorité concernée.
Si vous estimez être victime ou témoin d’un comportement illégal des agents de la police nationale, vous pouvez saisir en ligne l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).
Pour cela, vous devez utiliser un formulaire de signalement :
Vous êtes victime ou témoin de faits qui vous paraissent contraires à la déontologie des policiers municipaux ? Vous pouvez alerter le Défenseur des droits. Vous pouvez aussi alerter le maire. Dans tous les cas, vous pouvez choisir de saisir l’un ou l’autre, ou les deux de manière complémentaire. Nous vous guidons.
Le Défenseur des droits veille au respect de la déontologie par les personnes exerçant des activités de sécurité en France.
Il peut intervenir dans les activités de sécurité exercées par les personnes suivantes :
Agents publics de sécurité (policiers, gendarmes, douaniers, surveillants de prison, gardes champêtres ou forestiers,…)
Agents d’organismes chargés d’une mission de service public (par exemple, agents de surveillance des transports en commun)
Salariés d’entreprises privées de sécurité (services de gardiennage, de surveillance, de transports de fonds,…).
Les faits doivent se produire dans le cadre professionnel des agents, par exemple dans l’une des situations suivantes :
Interpellation ou garde à vue (violences, humiliations, privations,…)
Contrôle d’identité (abus de pouvoir, discriminations,…)
Dépôt de plainte (refus, mépris, jugement moral,…)
Détention (violences, humiliations, privations,…)
Fouille (fouille abusive,…)
Maintien de l’ordre lors d’une manifestation (usage abusif d’armes de force intermédiaire de type flash-ball ).
Ces comportements peuvent également être constatés dans un autre contexte, hors cadre judiciaire ou pénitentiaire : supermarchés, douanes, aéroports, etc.
Vous pouvez saisir le Défenseur des droits si vous êtes victime ou témoin de comportements des forces de l’ordre ou d’agents de sécurité qui vous paraissent illégaux.
Vous pouvez aussi le faire si vous êtes le représentant ou l’ayant droit d’une victime directe.
Vous pouvez faire la démarche en ligne, sur place ou par courrier.
Le fait de saisir le Défenseur des droits ne suspend pas les délais pour engager une action en justice.
Pouvoirs du Défenseur des droits
Le Défenseur des droits peut recueillir toutes informations utiles sur les faits de l’affaire.
Il peut demander des informations aux administrations, aux personnes privées, aux ministres compétents pour saisir les corps de contrôle (inspections générales).
Il peut faire des vérifications sur place dans les lieux publics et les locaux professionnels.
Un agent public, un dirigeant de société de sécurité privée et son personnel peuvent être convoqués et questionnés par le Défenseur des droits.
Traitement du dossier
Lorsque les faits de l’affaire laissent présumer l’existence d’une infraction pénale, le Défenseur des droits doit en informer le procureur de la République.
Lorsque les faits paraissent relever de manquements à la discipline, il peut en informer les autorités ou personnes investies du pouvoir disciplinaire.
Les détenteurs du pouvoir disciplinaire doivent informer le Défenseur des droits de la suite donnée au dossier.
Pour remédier aux manquements constatés ou prévenir leur récidive, le Défenseur des droits peut adresser un avis ou une recommandation aux autorités concernées. Elles doivent lui répondre dans le délai qu’il fixe.
En l’absence de réponse, ou si la recommandation n’a pas été suivie, le Défenseur des droits peut établir un rapport spécial et le rendre public. Il peut aussi, s’il l’estime nécessaire, publier la réponse de l’autorité concernée.
Si vous estimez être victime ou témoin d’un comportement illégal des agents de la police municipale, vous devez contacter la mairie de la commune concernée et lui transmettre votre plainte ou votre réclamation.
Vous êtes victime ou témoin de faits qui vous paraissent contraires à la déontologie des gendarmes ? Vous pouvez alerter le Défenseur des droits. Vous pouvez aussi alerter l’Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN). Dans tous les cas, vous pouvez choisir de saisir l’un ou l’autre, ou les deux de manière complémentaire. Nous vous guidons.
Le Défenseur des droits veille au respect de la déontologie par les personnes exerçant des activités de sécurité en France.
Il peut intervenir dans les activités de sécurité exercées par les personnes suivantes :
Agents publics de sécurité (policiers, gendarmes, douaniers, surveillants de prison, gardes champêtres ou forestiers,…)
Agents d’organismes chargés d’une mission de service public (par exemple, agents de surveillance des transports en commun)
Salariés d’entreprises privées de sécurité (services de gardiennage, de surveillance, de transports de fonds,…).
Les faits doivent se produire dans le cadre professionnel des agents, par exemple dans l’une des situations suivantes :
Interpellation ou garde à vue (violences, humiliations, privations,…)
Contrôle d’identité (abus de pouvoir, discriminations,…)
Dépôt de plainte (refus, mépris, jugement moral,…)
Détention (violences, humiliations, privations,…)
Fouille (fouille abusive,…)
Maintien de l’ordre lors d’une manifestation (usage abusif d’armes de force intermédiaire de type flash-ball ).
Ces comportements peuvent également être constatés dans un autre contexte, hors cadre judiciaire ou pénitentiaire : supermarchés, douanes, aéroports, etc.
Vous pouvez saisir le Défenseur des droits si vous êtes victime ou témoin de comportements des forces de l’ordre ou d’agents de sécurité qui vous paraissent illégaux.
Vous pouvez aussi le faire si vous êtes le représentant ou l’ayant droit d’une victime directe.
Vous pouvez faire la démarche en ligne, sur place ou par courrier.
Le fait de saisir le Défenseur des droits ne suspend pas les délais pour engager une action en justice.
Pouvoirs du Défenseur des droits
Le Défenseur des droits peut recueillir toutes informations utiles sur les faits de l’affaire.
Il peut demander des informations aux administrations, aux personnes privées, aux ministres compétents pour saisir les corps de contrôle (inspections générales).
Il peut faire des vérifications sur place dans les lieux publics et les locaux professionnels.
Un agent public, un dirigeant de société de sécurité privée et son personnel peuvent être convoqués et questionnés par le Défenseur des droits.
Traitement du dossier
Lorsque les faits de l’affaire laissent présumer l’existence d’une infraction pénale, le Défenseur des droits doit en informer le procureur de la République.
Lorsque les faits paraissent relever de manquements à la discipline, il peut en informer les autorités ou personnes investies du pouvoir disciplinaire.
Les détenteurs du pouvoir disciplinaire doivent informer le Défenseur des droits de la suite donnée au dossier.
Pour remédier aux manquements constatés ou prévenir leur récidive, le Défenseur des droits peut adresser un avis ou une recommandation aux autorités concernées. Elles doivent lui répondre dans le délai qu’il fixe.
En l’absence de réponse, ou si la recommandation n’a pas été suivie, le Défenseur des droits peut établir un rapport spécial et le rendre public. Il peut aussi, s’il l’estime nécessaire, publier la réponse de l’autorité concernée.
Si vous souhaitez porter à la connaissance de l’IGGN des faits qui vous paraissent illégaux, vous pouvez adresser une réclamation en ligne :
Vous êtes victime ou témoin de comportements d’agents de sécurité qui vous paraissent illégaux ? Vous pouvez faire un signalement au Défenseur des droits. Nous vous guidons.
Le Défenseur des droits veille au respect de la déontologie par les personnes exerçant des activités de sécurité en France.
Il peut intervenir dans les activités de sécurité exercées par les personnes suivantes :
Agents publics de sécurité (policiers, gendarmes, douaniers, surveillants de prison, gardes champêtres ou forestiers,…)
Agents d’organismes chargés d’une mission de service public (par exemple, agents de surveillance des transports en commun)
Salariés d’entreprises privées de sécurité (services de gardiennage, de surveillance, de transports de fonds,…).
Les faits doivent se produire dans le cadre professionnel des agents, par exemple dans l’une des situations suivantes :
Interpellation ou garde à vue (violences, humiliations, privations,…)
Contrôle d’identité (abus de pouvoir, discriminations,…)
Dépôt de plainte (refus, mépris, jugement moral,…)
Détention (violences, humiliations, privations,…)
Fouille (fouille abusive,…)
Maintien de l’ordre lors d’une manifestation (usage abusif d’armes de force intermédiaire de type flash-ball ).
Ces comportements peuvent également être constatés dans un autre contexte, hors cadre judiciaire ou pénitentiaire : supermarchés, douanes, aéroports, etc.
Vous pouvez saisir le Défenseur des droits si vous êtes victime ou témoin de comportements des forces de l’ordre ou d’agents de sécurité qui vous paraissent illégaux.
Vous pouvez aussi le faire si vous êtes le représentant ou l’ayant droit d’une victime directe.
Vous pouvez faire la démarche en ligne, sur place ou par courrier.
Le fait de saisir le Défenseur des droits ne suspend pas les délais pour engager une action en justice.
Le Défenseur des droits peut recueillir toutes informations utiles sur les faits de l’affaire.
Il peut demander des informations aux administrations, aux personnes privées, aux ministres compétents pour saisir les corps de contrôle (inspections générales).
Il peut faire des vérifications sur place dans les lieux publics et les locaux professionnels.
Un agent public, un dirigeant de société de sécurité privée et son personnel peuvent être convoqués et questionnés par le Défenseur des droits.
Lorsque les faits de l’affaire laissent présumer l’existence d’une infraction pénale, le Défenseur des droits doit en informer le procureur de la République.
Lorsque les faits paraissent relever de manquements à la discipline, il peut en informer les autorités ou personnes investies du pouvoir disciplinaire.
Les détenteurs du pouvoir disciplinaire doivent informer le Défenseur des droits de la suite donnée au dossier.
Pour remédier aux manquements constatés ou prévenir leur récidive, le Défenseur des droits peut adresser un avis ou une recommandation aux autorités concernées. Elles doivent lui répondre dans le délai qu’il fixe.
En l’absence de réponse, ou si la recommandation n’a pas été suivie, le Défenseur des droits peut établir un rapport spécial et le rendre public. Il peut aussi, s’il l’estime nécessaire, publier la réponse de l’autorité concernée.
La loi du 4 mars 2002 a remplacé la notion de «nom patronymique» par celle de «nom de famille», en donnant la possibilité à chacun des deux parents de transmettre à leur enfant leur patronyme ou bien les deux, dans l’ordre de leur choix. Pour distinguer les doubles noms, une circulaire du 6 décembre 2004 a prévu d’écrire les deux noms des parents en les séparant par un double tiret (- -).
Suite à une décision du Conseil d’État rendue le 4 décembre 2009, censurant le caractère obligatoire de ce double tiret, une nouvelle circulaire du 25 octobre 2011 stipule que le double tiret disparait au profit d’un simple espace. Tous les actes de naissance avec le séparateur (- -) entre les noms de famille, peuvent faire l’objet d’une rectification administrative.
Si vous êtes concernés, rapprochez-vous du service Population en Mairie en remplissant le formulaire correspondant ci-dessous :
Télécharger
demande de rectification en vue de supprimer le double tiret dans l’acte de naissance (majeur)
Équipements, Services municipaux, Services publics:Hotel de Ville
Adresse :
Hotel de Ville
74200 Thonon-les-bains
Horaires :
Ouverture au public
Lundi : de 13h30 à 17h00
Mardi : de 8h30 à 17h00 sans interruption
Mercredi : de 8h30 à 12h00 et de 13h30 à 17h00
Jeudi : de 13h30 à 18h30
Vendredi : de 8h30 à 12h00 et de 13h30 à 17h00
Samedi : de 8h30 à 12h00 (citoyenneté uniquement)