Le nom de famille

Pour toute demande il est nécessaire de prendre rendez-vous avec le service Population au 04 50 70 69 82.

Publié le – Mis à jour le

Traitement de la toxicomanie

Vous vous demandez comment peut se traiter la dépendance aux drogues (exemples : cannabis, héroïne, cocaïne) ? La toxicomanie peut peut se traiter à l’initiative de la personne toxicomane elle-même ou à la suite d’un signalement d’un professionnel (médecin ou assistante sociale). La justice peut aussi ordonner des soins. Nous vous présentons les informations à connaître.

Services médicaux spécialisés

2 services médicaux spécialisés peuvent guider le toxicomane.

Les CSAPA permettent de faire le point avec un professionnel sur les difficultés rencontrées.

Ils proposent un accompagnement vers :

  • L’arrêt de drogues

  • Ou la consommation modérée de drogues

  • Ou un traitement de substitution (pour les personnes dépendantes aux opiacés).

L’usager peut choisir l’accompagnement qui lui convient le mieux.

Il peut notamment opter pour un sevrage :

  • Ambulatoire (c’est-à-dire sans hospitalisation)

  • Ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire.

L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et au-delà.

En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.

À savoir

L’entourage d’un toxicomane peut aussi s’adresser à un CSAPA.

Il existe également une prise en charge ambulatoire dans des structures hospitalières (unités hospitalières d’addictologie).

Ces structures sont de plus ou moins grande importance.

Elles proposent des consultations externes, du type de ce que peuvent proposer les CSAPA.

Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)

Les Caarud :

  • Proposent une information et un conseil personnalisé pour usagers de drogues

  • Assurent un accueil collectif et individuel

  • Mettent à disposition du matériel de prévention des infections

  • Développent des actions de médiation sociale pour assurer une bonne intégration dans le quartier et prévenir les nuisances liées à l’usage de drogues

  • Peuvent délivrer certains médicaments (exemple : eau pour préparations injectables)

  • Assurent un soutien aux usagers (exemples : soutien dans l’accès aux soins, accès aux droits, accès au logement et à l’insertion ou réinsertion professionnelle).

Il est possible de trouver un Caarud notamment en fonction de son lieu d’habitation :

Haltes soins addictions (HSA)

Les HSA sont ouvertes par certains CSAPA et les Caarud jusqu’au 31 décembre 2025.

Ils se situent :

  • Au sein même des CSAPA et des Caarud

  • Ou dans des locaux distincts ou structures mobiles.

Le but est d’aider les personnes majeures usagers de drogues qui veulent des conseils pour réduire les risques (par exemple : surdose, infection).

Ces personnes peuvent consommer dans des conditions sécurisées et être accompagnées pour les questions liées à la santé (exemples : rechercher un médecin traitant, obtenir une aide psychiatrique, bénéficier d’un sevrage).

Il est possible de trouver une HSA notamment en fonction de son lieu d’habitation :

Où s’adresser ?

 Haltes soins addictions (HSA) 

Un médecin ou une assistante sociale peut signaler le cas d’une personne toxicomane à l’Agence régionale de santé (ARS).

L’ARS ordonne la réalisation d’une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale de la personne et demande un examen médical.

La suite diffère selon que l’examen révèle ou non une dépendance.

La personne doit suivre une cure de désintoxication dans l’établissement de son choix. Sinon, l’ARS peut en désigner un d’office.

La personne est invitée à demeurer sous surveillance médicale. Cette surveillance sera effectuée soit par un :

  • Médecin choisi par le directeur général de l’ARS

  • Dispensaire d’hygiène sociale

  • Établissement agréé, public ou privé.

Un juge peut demander à un ou une toxicomane de se faire soigner.

Ces soins sont appelés injonction thérapeutique (ou injonction de soins ). Ils peuvent comprendre une cure de désintoxication.

L’injonction peut être ordonnée dans le cadre :

Le juge qui a prononcé l’injonction thérapeutique en informe l’Agence régionale de santé (ARS).

L’ARS fait procéder :

  • À l’examen médical de l’intéressé par un médecin désigné en tant que médecin relais

  • Et, éventuellement, à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale du toxicomane.

Le professionnel de santé désigné fait connaître à l’autorité judiciaire son avis sur l’opportunité de la mesure d’injonction thérapeutique.

Addictions

    •  Drogues.gouv.fr 
      Source : Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca)
    •  Drogues info service 
      Source : Santé publique France

    • Drogues info service

      Par téléphone

      0 800 23 13 13 (appel gratuit et anonyme)

      Ouvert de 8h à 2h, 7 jours/7

      Informations sur les drogues, l’alcool, les dépendances y compris la dépendance aux jeux.

      Écoute, soutien, conseils et orientations.

      Vous pouvez appeler que vous soyez concerné directement ou indirectement par une consommation de drogues.

      Par internet

      Accès à  la rubrique Vos questions / Nos réponses  pour poser des questions aux professionnels du service

      Par chat

      Ouvert :

      De 14h à minuit du lundi au vendredi

      Et de 14h à 20h le samedi et le dimanche.

       https://www.drogues-info-service.fr/Drogues/Chat 

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    Retrait du tirait séparateur

    La loi du 4 mars 2002 a remplacé la notion de «nom patronymique» par celle de «nom de famille», en donnant la possibilité à chacun des deux parents de transmettre à leur enfant leur patronyme ou bien les deux, dans l’ordre de leur choix.
    Pour distinguer les doubles noms, une circulaire du 6 décembre 2004 a prévu d’écrire les deux noms des parents en les séparant par un double tiret (- -).

    Suite à une décision du Conseil d’État rendue le 4 décembre 2009, censurant le caractère obligatoire de ce double tiret, une nouvelle circulaire du 25 octobre 2011 stipule que le double tiret disparait au profit d’un simple espace.
    Tous les actes de naissance avec le séparateur (- -) entre les noms de famille, peuvent faire l’objet d’une rectification administrative.

    Si vous êtes concernés, rapprochez-vous du service Population en Mairie en remplissant le formulaire correspondant ci-dessous :

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    • demande de rectification en vue de supprimer le double tiret dans l’acte de naissance (majeur)

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    • demande de rectification en vue de supprimer le double tiret dans l’acte de naissance (enfants mineurs)

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    Horaires du service Population

    • Lundi : 8h – 12h / 13h30 – 17h
    • Mardi :8h – 12h / 13h30 – 17h
    • Mercredi : 8h – 12h / 13h30 – 17h
    • Jeudi : 8h – 12h / 14h – 17h
    • Vendredi : 8h – 12h / 13h30 – 17h
    • Samedi : 9h – 12h

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